En impression 3D FDM, il existe une multitude de motifs de remplissage. Le choix et le paramétrage de ce motif est important car il impacte la solidité, la rapidité d’impression, la consommation de filament, la qualité de l’impression… Mieux vaut choisir le bon, d’autant plus que la choix par défaut n’est souvent pas très judicieux.
L’objet de ce billet est de s’intéresser aux configurations et paramétrages d’une impression sur une imprimante 3D FDM (filament) avec pour objectif d’obtenir le meilleur résultat possible pour des objets de type petites figurines. Les deux aspects critiques de ce type d’impression sont la qualité et la précision d’un côté, et surtout la gestion des supports de l’autre. Attention, avec un tel cahier des charges, le temps d’impression sera nécessairement long. Pour écrire ce billet, je me base sur mon expérience avec une imprimante Bambulab A1 en utilisant le slicer Bambu Studio.
Bambu Studio, le slicer de Bambu Lab, permet bien entendu de modifier facilement les paramètres d’impression. Mais pour pouvoir les partager, il faut également savoir les exporter et les importer. L’objet de ce court billet est d’aborder ces trois aspects : sauvegarde, exportation, importation.
Alors que notre monde fait face à des défis environnementaux sans précédent, il est crucial de repenser notre manière de nous déplacer. La voiture électrique se présente comme une solution innovante et écologique, réduisant notre empreinte carbone et contribuant à un avenir plus durable. Dans ce billet, explorons les nombreux avantages de cette révolution silencieuse et propre sur nos routes.
Ce discours introductif a été généré par ChatGPT. Je suis sidéré par la course aveugle actuelle de nos sociétés vers la voiture électrique que l’on appelle également la voiture propre. Rappelons que l’Union européenne a entériné l’interdiction de la vente des véhicules à moteur thermique à partir de 2035 (en exemptant cependant la filière automobile de luxe) ! Quand on y regarde de plus près, avec un peu de discernement, de réflexion et de rigueur, on se rend assez vite compte que la voiture électrique est au moins aussi polluante, et malheureusement très probablement bien plus, que celle qu’elle remplace. Dans ce billet, qui promet d’être long, je vais adresser plusieurs aspects de la voiture électrique.
Si vos optiques de phare sont ternis ou jaunis par le temps, sachez qu’il est possible de les restaurer. L’opération n’est pas très complexe et le résultat est très convaincant. Il faut simplement un peu de temps, de technique et de matériel. On peut trouver en centre auto de petits kits pour réaliser cette opération, mais j’ai préféré le faire en achetant l’ensemble des produits indépendamment pour une meilleure maîtrise des étapes et du résultat. L’outil principal est une simple visseuse. Globalement, l’opération se fait en quatre étapes distinctes : Nettoyage, Ponçage, Polissage, Protection.
Comment laver sa voiture efficacement ? Le milieu du detailing auto (activitée de nettoyage et rénovation esthétique intégrale d’une voiture) regorge de terminologies et de procédures. Lavage, prélavage, shampoing, QD, cire, lustrant, céramique, décontamination, polish. Il est très difficile de s’y retrouver. Je me suis penché un peu sur la question pour savoir si ce que je faisais était efficace ou pas. Je présente dans ce billets plusieurs procédures de nettoyage. Il faut choisir en fonction de ce que l’on souhaite obtenir et du temps que l’on a à y consacrer. Ce billet ne s’intéresse qu’à l’aspect extérieur de la voiture (carroserie et jantes).
L’objectif de ce billet est de proposer une procédure systématique pour nettoyer l’intérieur de sa voiture. Pour le traitement complet (dépoussiérage, nettoyage et finitions) de tout l’habitacle intérieur d’une grosse familiale, il font compter deux bonnes journées de travail.
Le plus important est un aspirateur qui possède de préférence une seconde sortie souflante. Kärcher en propose, mais ce n’est pas le seul. Comme accessoires, il faut un embout suceur (généralement fourni avec l’aspirateur), et deux embouts de type petites brosses, une avec des poils très souples que l’on réservera au tableau de bord, et une autre avec des poils moins souples pour les moquettes et les sièges. Pour des zones très peu accessibles, prévoire un embout tubes de paille ou un suceur long flexible pour l’aspirateur.
Certains petits ustensiles seront d’une grande aide : des pinceaux de detailing auto, une brosse anti poils avec des picots en silicone pour les moquettes et les sièges, des brosses souples rotatives de nettoyage qui se montent sur une perceuse, des éponges magiques et des chiffons microfibre.
Il faut enfin un certain nombre de produits de nettoyage : un nettoyant APC, de l’alcool isopropylique, du rénovateur plastique voiture (comme le renovateur plastique hendlex), et, éventuellement, un nettoyant pour vitres (ex : Glaco de cleaner).
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Plusieurs sociétés sont issues d’une entreprise familiale sarroise, créée en 1922 par August WOLF pour fabriquer industriellement des outils : ELMAR WOLF, OUTILS WOLF, WOLF GERÄTE AG, WOLF GERÄTE GMBH, WOLF GARTEN.
Au passage, la Sarre fut successivement :
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Certains se donnent bonne conscience en buvant dans des mugs en terre cuite et en ne possédant pas de voiture, mais partent en vacances en avion (certes, c’est très Parisien). L’avion est pourtant réputé pour être bien plus polluant que la voiture, et surtout que le train : 2 fois plus que la voiture et 66 fois plus que le train selon le comparateur de mobilité de la sncf.
Il existe toutefois des voix dissonantes et crédibles qui démontrent que prendre l’avion ne pollue pas tellement plus, voire parfois moins, que de prendre la voiture (comme par exemple).
Difficile de répondre dans l’absolu, mais intéressons-nous un cas d’usage assez fréquent : celui d’une famille de 4 personnes qui part en vacances.
Alors, avion ou voiture (ou train) ? Quel bilan carbone pour la planète ?
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C’est peu de dire que l’écriture inclusive est à la mode : à l’université, elle s’impose dans notre quotidien dans les courriels et dans les documents administratifs. L’association SOS ÉDUCATION (Une scolarité réussie pour tous les enfants) a publié un document (copie locale) sur l’écriture inclusive que je trouve intéressant et dont je livre dans ce billet quelques extraits.
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