Réencodage vidéo : WinFF et FFmpeg

En topographie, un point d’intérêt ou POI (pour Point Of Interest en anglais), désigne un endroit ou une destination potentiellement intéressante. Ce terme est utilisé par différents logiciels de navigation et appareils GPS.
Pour utiliser différents systèmes de navigation ou de cartographie, il est intéressant d’avoir sa propre base de POI et de les importer dans ces différents systèmes. Dans cette optique, vous aurez besoin de logiciel de convertion de POI comme le très bon shareware PoiEdit qui fonctionne malheureusement sous Windows (mais ce n’est plus un problème avec VirtualBox).
POI et Favoris sont différents. Les Favoris sont limités à 48 dans TomTom tandis que les POI ne sont limités que par la capacité de la mémoire ou de la carte SD. Les Favoris sont stockés en vrac (avec plein d’autres informations, comme les Alertes POI, le domicile, les destinations récentes, les derniers POI utilisés …) dans le fichier mapsettings.cfg (ex : \Western_Europe-Map\mapsettings.cfg). Il est tout à fait possible d’ouvrir le fichier mapsettings.cfg avec PoiEdit pour générer ou alimenter un fichier de POI au format ov2.
Les POI de TomTom doivent être au format ov2 (ex : MesPOI.ov2) accompagnés de la vignette qui les représentera qui doit porter le même nom, être au format BMP en 22×22 pixels et en couleurRVB (ex : MesPOI.bmp). Ces deux fichiers sont à placer dans le répertoire de la carte qui devra les afficher (ex : \Western_Europe-Map).
On peut ainsi facilement retrouver tous ses POI sur tous ses TomTom quand on en a plusieurs.
La nouvelle avait été annoncée lors de l’IFA, et c’est maintenant officiel : TomTom est disponible sur Android. Notez que vous devez disposer d’un smartphone avec une définition de 800 x 480 pixels (Galaxy S2) ou de 854 x 480 pixels, mais la société précise que d’autres plus élevés arriveront prochainement.
Je trouve que TomTom possède de loin le meilleur algorithme de calcul d’itinéraire (nottament grace à IQ route) et le meilleur système de navigation. La version Android est assez conforme à la version terminal de voiture. Mieux, il est maintenant réellement possible de définir plusieurs point intermédiares pour adapter un itinéraire. Par contre, impossible de paramétrer des alertes de POI, ou même de les gérer (ajouter ou supprimer), comme dans les anciens terminaux.
Pour importer ses POI dans TomTom pour Android, c’est ultra simple : il suffit de déplacer le couple de fichiers ov2 (ex : MesPOI.ov2) et bmp (ex : MesPOI.bmp) dans le répertoire de la cartographie (ex : /sdcard/tomtom/com.tomtom.weurope/files/Western_Europe) sur le smartphone. Les fichiers bmp doivent être en couleur RVB 24 bits, de dimension 24 × 24 et sur fond blanc pour apparaître correctement sur la carte (exemple : ).
Google Maps permet d’importer des POI dans une carte en procédant de la manière suivante :
Cette solution vous permet de visualiser et d’utiliser vos POI dans Google Maps, que vous soyez sur votre ordinateur ou sur votre smartphone Android !
Waze est une application gratuite et communautaire de navigation sur mobile avec plus de 30 millions d’utilisateurs dans le monde. Waze propose :
Je trouve le système de navigation très efficace, probablement le plus agréable des systèmes de navigation présentés dans ce billet. L’info trafic en temps réel est très efficace aussi, bien qu’il dépende de la présence d’autres utilisateurs waze sur le trajet. Hélas, mais c’est obligatoire avec une telle application, il faut nécessairement être connecté pour l’utiliser.
Waze ne permet pas d’éditer ses propres POI. Il dispose néanmoins d’un système de favoris stockés dans un fichier texte waze/history
sans mécanisme d’import/export. Mais il semblerai que cette dernière fonctionnalité devrai venir…
Sygic GPS Navigation est une solution de navigation payante sous Android. C’est une sorte de clone de TomTom avec des fonctions en plus et en moins. Sygic permet de beaucoup mieux planifier ses itinéraires avec une bonne gestion des points intermédiaires (fonction médiocrement implémenté par TomTom et absente de pratiquement tous les autres). Par contre, Sygic est nettement moins pertinent que TomTom concernant son algorithme de calcul de parcours, probablement à cause d’une non prise en compte des statistiques de vitesses (IQ route).
Pour importer ses POI dans Sygic GPS Navigation for Android, la procédure est plus complexe et ne fonctionne qu’à partir de la version 11.2. Pour réaliser cette opération, il faut télécharger l’application Windows Sygic Rupi Convertor.
Voici la marche à suivre :
delimiter=|
-0.075771|51.332663|Esso petrol station
-0.075771|51.332663|Esso petrol station
-0.075771|51.332663|Esso petrol station
longitude|latitude|name|address|phone|fax|web|email|short description|long description
CoPilot Live est une solution de navigation payante sous Android. Personnellement, je préfère lui préfère son concurrent Sygic GPS Navigation également payant.
Pour importer ses POI dans CoPilot Live, c’est ultra simple : il suffit de déplacer le couple de fichiers ov2 (ex : MesPOI.ov2) et bmp (ex : MesPOI.bmp) dans le répertoire /sdcard/copilot/save sur le smartphone.
Avant l’apparition de TomTom pour android, Navigon for Android semblait plébiscité dans les comparatifs des solutions de navigation pour Android.
Personnellement, je le trouve très peu paramétrable. De plus, la fonctionnalité d’import de POI n’est visiblement pas encore implémentée.
Bref, passez votre chemin.
> jhead -ft *.JPG
> jhead -ta+1:30 *.JPG
> exiv2 -r '%Y-%m-%d-(%H-%M-%S)_:basename:' *.JPG
> rename 's/.*)_//' *.JPG
> exiftool file
Je vous rassure l’option permettant à nos clients d’opter pour une retouche automatique ou non sera disponible dans les prochains jours. Cela est actuellement en cours de développement.
[…] En fait, un universitaire moyen travaille beaucoup trop. Il exerce trois métiers, enseignant, administrateur et chercheur. Autant dire qu’il n’est pas aux 35 heures, ni aux 40, ni aux 50. Donnons une idée rapide de la variété de ses tâches : cours. Préparation des cours. Examens. Correction des copies (par centaines). Direction de mémoires ou de thèses. Lectures de ces mémoires (en sciences humaines, une thèse, c’est entre 300 et 1000 pages). Rapports. Soutenances. Jurys d’examens. Réception et suivi des étudiants. Elaboration des maquettes d’enseignement. Cooptation et évaluation des collègues (dossiers, rapports, réunions). Direction d’année, de département, d’UFR le cas échéant. Réunions de toutes ces instances. Conseils d’UFR, conseils scientifiques, réunions de CEVU, rapports et réunions du CNU et du CNRS, animations et réunions de centres et de laboratoires de recherche, et d’une quantité de conseils, d’instituts et de machins divers.
Et puis, la recherche. Pendant les loisirs, s’il en reste. Là, c’est virtuellement infini : lectures innombrables, rédaction d’articles, de livres, de comptes rendus, direction de revues, de collections, conférences, colloques en France et à l’étranger. Quelle bande de fainéants, en effet. Certains cherchent un peu moins que les autres, et on s’étonne ? Contrôlons mieux ces tire-au-flanc, c’est une excellente idée. Il y a une autre hypothèse : et si, pour changer, on fichait la paix aux chercheurs, est-ce qu’ils ne chercheraient pas plus ? Depuis des lustres, la cadence infernale des réformes multiplie leurs tâches. Après quoi, on les accuse de ne pas chercher assez. C’est plutôt le fait qu’ils continuent à le faire, malgré les ministres successifs et leurs bonnes idées, malgré les humiliations et les obstacles en tous genres, qui devrait nous paraître étonnant.
Nicolas Sarkozy, dans son discours du 22 janvier, parle de recherche «médiocre» en France. Elle est tellement médiocre que les publications scientifiques françaises sont classées au 5e rang mondial, alors que la France se situe au 18e rang pour le financement de la recherche. Dans ces conditions, les chercheurs français sont des héros. […]