Si le bureau Gnome classique vous convenait très bien et que vous ne voulez pas entendre parler du bureau GNOME Shell, cet article est fait pour vous. Il explique comment retrouver un comportement proche du bureau Gnome classique sur la dernière version LTS d’Ubuntu (20.04). La solution passe par l’utilisation d’une combinaison de gnome-session-flashback et nemo.
Dans ce billet j’explique comment créer rapidement un graphique généré à partir du résultat d’une requête SQL en utilisant Metabase.
Pour faire un graphique, il faut connecter Metabase à au moins une base de données. Si vous n’avez pas fait cette connexion au moment de l’intallation (billet Metabase), ou si vous voulez ajouter une nouvelle base de données, il faut se rendre dans :
Pour revenir à l’écran d’accueil, cliquer sur Paramètres (⚙) → Quitter le panneau d’administration.
Numérisation, confinement, …, les capsules vidéos ont le vent en poupe, et notre hierarchie nous met la pression, à nous enseignants, pour que nous nous y mettions (sans vraiment de moyens alloués bien évidémment). J’ai décidé de franchir le pas en réalisant ma première capsule vidéo pédagogique : Bases de données – Le Modèle Relationnel. J’ai passé un temps conséquent à trouver, tester et sélectionner les outils me permettant de concrétiser ce que j’avais en tête. Dans ce billet, je dresse l’inventaire des outils qui ont retenus mon attention.
Quand on cherche à analyser les données contenues dans une base de données, surtout s’il s’agit de mesures, mais pas seulement, il devient très vite intéressant d’avoir recours à un outils de visualisation de données permettant d’élaborer des tableaux, des graphiques, etc. On parle en général d’outils d’informatique décisionnelle (ou BI pour Business Intelligence).
J’ai longtemps cherché un outil d’informatique décisionnelle, et plus précisément de visualisation de données, open source (ou à minima gratuit), capable de se connecter à une base de données, facile à utiliser, multi -plateforme (Windows, Mac, Linux) et, de préférence, avec des fonctionnalités SQL.
Ce type de produit est finalement, et étonnamment, assez rare. Les produits payants sont légions, mais pas de version gratuite pour un usage personnel ou pour l’enseignement (pour mes DUT STID en l’occurence), au mieux, ces produits offrent une période d’essai de 15 jours.
J’ai finalement trouvé Metabase qui semble cocher toutes les cases de la solutions que je cherchais. L’installation et la configuration de cette solution est l’objet de ce billet. Si vous connaissez et appréciez une autre application d’informatique décisionnelle gratuite et multi-plateforme (Windows, Mac, Linux), n’hésitez pas à laisser un commentaire !
Thunderbird est une application de messagerie que j’aime beaucoup. Elle me permet de centraliser toutes mes adresses électroniques, de consulter mes messages hors ligne et d’archiver et d’accéder facilement à mes multiples dossiers grâce à l’extension nostalgy.
Voici une solution à deux problèmes que j’ai récemment rencontrés.
Thunderbird se met à jour automatiquement. Hélas, parfois (souvent), tout fonctionnait bien et la mise à jour pose problème, comme l’impossibilité d’utiliser mon extension favorite, nostalgy, qui ne fonctionne généralement pas immédiatement avec la nouvelle version de Thunderbird.
Pour empêcher les mises à jour automatiques, il faut :
L’objectif de ce billet est de présenter l’installation de la distribution classique Raspbian sur un Raspberry Pi sans clavier ni écran avec connexion directe en ssh. Ce billet couvre plusieurs aspect :
Pour commencer, il faut se procurer un Raspberry Pi, un boîtier adapté, des dissipateurs thermiques, une alimentation +5V/2A micro-USB et enfin une carte mémoire micro SD très rapide (c’est important pour obtenir un système réactif).
2019-09-26-raspbian-buster.img) pc$ sudo dd bs=4M if=~/2019-09-26-raspbian-buster.img of=/dev/sde |
/dev/sde doit bien correspondre au point de montage de la carte SD devant accueillir l’image Raspbian (Sous Ubuntu, on peut faire un clique droit sur le fichier 2019-09-26-raspbian-buster.img puis Ouvrir avec Enregistreur d’image disque)
ssh dans la partition bootpi ; Mot de passe : raspberry) :
pc$ ssh pi@192.168.x.xxx |
pi$ sudo raspi-config |
1 Change User Password),7 Advanced Options→A1 Expand Filesystem),2 Network Options → N1 Hostname),4 Localisation Options→I2 Change Timezone).
Mon Raspberry a perdu la synchronisation de la date et de l’heure. Pour la restaurer, il suffit de faire :
sudo service ntp stop
sudo ntpdate fr.pool.ntp.org
sudo service ntp start
L’adresse fr.pool.ntp.org est celle d’un serveur de temps NTP que vous pouvez choisir librement.
Remarque : Ubuntu a longtemps utilisé ntpdate et ntpd pour ajuster l’horloge mais cette tâche est désormais assurée par timedatectl.
Le réseau wifi de ma Freebox n’est pas assez puissant pour couvrir ma maison. Jusqu’à présent, j’utilisais un point d’accès DAP-2310 pour compléter le réseau de la box. Mais celui-ci vient de rendre l’âme… N’étant globalement pas très satisfait de la longévité du petit matériel D-Link, j’ai décidé de passer à la concurrence en le remplaçant par un routeur Netgear Nighthawk R7000.
IPKG (Itsy Package Management System) est un gestionnaire de paquets libre publié sous licence GPLv2. Il permet de gérer l’installation et la mise à jour des logiciels installés sur une distribution GNU/Linux. Il est utilisé dans certains systèmes embarqués.
J’ai déjà écrit un billet sur l’installation d’ipkg sur un NAS Synology. C’était il y a quasiment 10 ans, j’ai donc décidé d’en écrire un nouveau à l’occasion de l’installation de mon 3ème NAS Synology. Cependant, le premier billet reste valable en complément de ce second.
ssh admin@IP_SYNOsudo -i puis saisir le mot de passe du compte utilisé pour vous connecter pour basculer sur un compte root.
cd /volume1/publicsh syno-i686-bootstrap_1.2-7_i686.xsh
ipkg update
ipkg upgrade
L’objectif de ce billet est de présenter la mise en œuvre du contrôleur domotique Jeedom sur un Raspberry Pi 2 afin de piloter une installation Z-Wave en utilisant le contrôleur Z-Wave Aeon Labs Z-Stick Series 2 (plugin Jeedom payant nécessaire : 7€).
Le 2 février 2015, la fondation Raspberry Pi annonce la sortie du Raspberry Pi 2, 6 fois plus puissant que le modèle B+. Il est équipé d’un processeur Broadcom BCM2836, de quatre cœurs ARMv7 à 900 MHz et de 1 Go de RAM. Il permet de faire tourner correctement Jeedom alors que son prédécesseur était largement sous dimensionné pour cette tâche.
Pour commencer, il faut se procurer un Raspberry Pi 2, un boîtier adapté, des dissipateurs thermiques, une alimentation +5V/2A micro-USB et enfin une carte mémoire micro SD très rapide (c’est important pour obtenir un système réactif).
(suite…)
